Benchmarking Bioplastics: A Natural Step Towards a Sustainable Future

Date of publication 10 August 2020

Authors Bhagwat, Geetika; Gray, Kelsey; Wilson, Scott P.; Muniyasamy, Sudhakar; Vincent, Salom Gnana Thanga; Bush, Richard; Palanisami, Thava.

Sources Journal of Polymers and the Environment :

DOILink https://doi.org/10.1007/s10924-020-01830-8

Abstract

The ubiquitous presence of plastic litter and its tending fate as marine debris have given rise to a strong anti-waste global movement which implicitly endorses bioplastics as a promising substitute. With ‘corporate social responsibility’ growing ever more popular as a business promotional tool, companies and businesses are continually making claims about their products being “green”, “environmentally friendly”, “biodegradable”, or “100% compostable”. Imprudent use of these words creates a false sense of assurance at the consumer end about them being responsible towards the environment by choosing these products. The policies surrounding bioplastics regulation are neither stringent not enforceable at both national and international stage which indirectly allow these “safe words” to be used as an easy plug to validate the supposed corporate social responsibility. Similar to conventional plastics, unregulated and mismanaged bioplastics could potentially create another environmental mayhem. Therefore, it is a crucial time to harness the power of law to set applicable standards with a high threshold for the classification of “bioplastics”, which companies can aspire to, and customers can trust. In this review, we analyse the multifarious international bioplastics standards, critically assess the potential shortcomings and highlight how the intersection of law with science and technology is crucial towards the reform of bioplastics regulation .

TSC Opinion

Dans leur grand sens de la mesure, les médias nous poussent vers un état d’esprit anti plastique qui impacte à la fois les fabricants de plastiques pétrochimiques à usage unique et ceux des bioplastiques qui élaborent des solutions alternatives. Plus que la matière, c’est l’usage qui est mis en cause et le modèle d’hyperconsommation sur lequel sont basés les profits des entreprises. L’approche par l’économie circulaire ne vise pas simplement à gérer les matières, mais à mettre en place une sobriété dans l’usage des ressources matières et énergétiques. Au-delà de cet aspect global, viennent se greffer les allégations non réglementées sur les nouveaux plastiques biosourcés, biodégradables, compostables… qui ne représentent au mieux qu’une vue partielle du produit et au pire sont totalement mensongères. Bien souvent, il s’agit de plastiques pétrochimiques standards auxquels on a ajouté des additifs chimique pour les fractionner, argumentant ainsi qu’ils se dégraderont plus facilement dans la nature, sans aucune preuve scientifique et sans analyse du devenir des microplastiques générés ni de la pollution chimique associée aux additifs. Le consommateur a beaucoup de mal à cerner le vrai du faux et les nombreux articles de publi-marketing qui se mêlent aux articles scientifiques n’aident pas à se faire une opinion. Les auteurs de cette publication insistent sur l’urgence à mettre en place une réglementation précise sur l’usage des termes biosourcé, biodégradable… qui indiquent aux consommateurs que ces plastiques sont meilleurs pour l’environnement que les autres. Allégation qui mériterait aussi un développement car les notions d’empreinte carbone, de recyclabilité, de gestion de fin de vie… s’intègrent dans ce concept.

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