Study of tribological and water intake characteristics of epoxy based hybrid composite

Date of publication 3 August 2020

Authors Balan, G. Sakthi; Ganesh, N.; Ravichandran, M.

Sources Materials Today: Proceedings : 27, 729–735.

DOILink https://doi.org/10.1016/j.matpr.2019.11.324

Abstract

Hybrid polymer composite is fabricated to enhance the mechanical properties, especially the wear and water intake resistance. For this epoxy resin is used as matrix and E glass fiber, waste plastic particulates and silica sand along with small percentages of aluminium oxide and titanium oxides. The silica sand is added as fillers to enhance the wear and the main objective is to avoid pores formation, and this is done by the silica sand as it will fill the pores if formed. The reinforcement to be added is designed by Taguchi method. The results give enhanced mechanical characteristics. committee of the First International conference on Advanced Lightweight Materials and Structures.

TSC Opinion

La recherche sur les nouveaux_materiaux continue à se dérouler comme on peut le voir au travers de cet article qui présente une nouvelle formulation d’un matériau complexe composé de fibre de verre, de particules, de plastique, de silice et de résine époxy. Les caractéristiques techniques sont évidemment augmentées et permettent d’envisager des applications plus exigeantes en termes de résistance et de protection. Toutefois, aucun questionnement sur la gestion de fin de vie de ces matériaux complexes n’est abordé, ni sur l’usure progressive qui va générer des microparticules. D’une manière générale, plus la formulation est complexe et moins le matériau sera recyclable. Il est peu probable que celui décrit dans cet article soit biodégradable. Il en résulte donc un risque potentiel de contamination pour l’environnement durant la vie du matériau par des déchets mal gérés, étant donné qu’il ne sera pas recyclable. De même en fin de vie, comment pourra être traité ce composite pour une réutilisation potentielle ou une valorisation sans contaminer l’environnement ? Les financements des études de ce type devraient intégrer systématiquement ce questionnement afin qu’une partie du budget soit consacrée à apporter des réponses techniques.

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